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2024年11月21日木曜日
WWFジャパンさんによるXでのポスト
革命家の告白 プルードン 1851 より
La solution du problème de la misère consiste donc à élever à une plus haute expression la science du comptable, à monter les écritures de la société, à établir l’actif et le passif de chaque institution, en prenant pour comptes généraux ou divisions du grand-livre social, non plus les termes de la comptabilité ordinaire, Capital, Caisse, Marchandises générales, Traites et remises, etc. ; mais ceux de la philosophie, de la législation et de la politique : Concurrence et Monopole, Propriété et Communauté, Citoyen et État, Homme et Dieu, etc. — Enfin, et pour achever ma comparaison, il faut tenir les écritures à jour, c’est-à-dire déterminer avec exactitude les droits et les devoirs, de manière à pouvoir, à chaque moment, constater l’ordre ou le désordre, et présenter la balance [9]. J’ai consacré deux volumes à expliquer les principes de cette comptabilité que j’appellerai, si l’on veut, transcendante ; j’ai rappelé cent fois, depuis Février, ces idées élémentaires, communes à la tenue des livres et à la métaphysique. Les économistes routiniers m’ont ri au nez ; les idéologues politiques m’ont invité poliment à écrire pour le peuple. Quant à ceux dont j’avais pris si fort à cœur les intérêts, ils m’ont traité encore plus mal. Les communistes ne me pardonnent pas d’avoir fait la critique de la communauté comme si une nation était était un grand polypier, et qu'à côté du droit social il n’y eût pas le droit individuel. Les propriétaires me veulent mal de mort pour avoir dit que la propriété, seule et par elle-même, est vol ; comme si la propriété ne tirait pas toute sa valeur (la rente) de la circulation des produits, et par conséquent ne relevait pas d’un fait supérieur à elle, la force collective, la solidarité du travail Les politiques enfin, quelle que soit leur bannière, répugnent invinciblement à l’an-archie, qu’ils prennent pour le désordre ; comme si la démocratie pouvait se réaliser autrement que par la distribution de l’autorité, et que le véritable sens du mot démocratie ne fût pas destitution du gouvernement. Ces gens-là ressemblent tous à ce maquignon qui, ayant pris un commis pour débrouiller ses comptes, se croyait volé, parce qu’il voyait les parties rangées sur deux colonnes, l’une au débit, l’autre au crédit. « Je fais tous mes achats au comptant, s’écriait-il ! Je ne dois rien à personne, et prétends ne devoir jamais rien ! » — M. Thiers, exposant avec sa merveilleuse lucidité l’origine et le développement de la propriété, sans vouloir entendre parler de sa corruptibilité et de sa décadence, est le pendant de ce maquignon. Cela n’empêche pas que M. Thiers ne soit aujourd’hui le sauveur de la famille et de la propriété. Pour prix de sa science économique, il sera bientôt ministre ; tandis que moi, pauvre vérificateur d’écritures, je suis une peste publique, et l’on me met en prison. Entre la communauté et la propriété, il ne faut pas mettre le doigt !... Le Système des Contradictions économiques ou Grand-Livre des mœurs et institutions, peu importe le nombre des cadres, comptes généraux ou catégories, est le vrai système de la société, non telle qu’elle se développe historiquement et dans l’ordre des générations, mais dans ce qu’elle a de nécessaire et d’éternel. Comme dans une entreprise industrielle, de nouvelles relations donnent lieu chaque jour à de nouveaux comptes, et modifient incessamment l’organisation intérieure du travail, la distribution des ouvriers et employés, l’emploi des machines, etc. ; ainsi, dans la société, de nouvelles lumières, de grandes découvertes, produisent incessamment de nouvelles mœurs et modifient l’économie générale. Mais de même encore que, dans toute société de commerce ou d’industrie, les principes de comptabilité, le système général des écritures est invariable ; que les livres sont la représentation des opérations, l’observatoire d’où le gérant dirige toute la marche des affaires : pareillement, dans la société, la théorie des antinomies est à la fois la représentation et la base de tout mouvement. Les mœurs et les institutions peuvent varier de peuple à
Et il y revient plus tard dans un éclaircissement ajouté
à la 3° étude 2:
A propos de cet ouvrage (les Contradictions économiques),
je renouvelle ici l'observation déjà faite sur Hegel, à l'exemple
duquel j'avais adopté l'idée que l'antinomie devait se résoudre
en un terme supérieur, la synthèse, distinct des deux premiers,
la thèse et l'antithèse, erreur de logique autant que d'expérience
dont je suis aujourd'hui revenu. L'antinomie ne se résout pas;
là est le vice fondamental de toute la philosophie hégélienne. Les
deux termes dont elle se compose, se balancent, soit entre eux,
soit avec d'autres termes antinomiques, ce qui conduit au résul-
tat cherché. Une balance n'est point une synthèse telle que l'en-
tendait Hegel et que je l'avais supposée après lui.
Cette idée de la balance n'était d'ailleurs pas neuve chez
Proudhon. Elle s'était d'abord présentée chez lui sous la
forme de la notion mécanique d'un équilibre ou d'un con-
trepoids. Un peu plus tard, dans les Contradictions éco-
nomiques, il s'agit de faire équation générale de toutes
nos contradictions ». En 1849, dans les Confessions, c'est la
1. De la justice..., éd. Bouglé-Moysset, t. I, p. 211.
2. Id., t. II, p. 155.
Et il y revient plus tard dans un éclaircissement ajouté à la 3° étude 2:
A propos de cet ouvrage (les Contradictions économiques), je renouvelle ici l'observation déjà faite sur Hegel, à l'exemple duquel j'avais adopté l'idée que l'antinomie devait se résoudre en un terme supérieur, la synthèse, distinct des deux premiers, la thèse et l'antithèse, erreur de logique autant que d'expérience dont je suis aujourd'hui revenu. L'antinomie ne se résout pas; là est le vice fondamental de toute la philosophie hégélienne. Les deux termes dont elle se compose, se balancent, soit entre eux, soit avec d'autres termes antinomiques, ce qui conduit au résultat cherché. Une balance n'est point une synthèse telle que l'entendait Hegel et que je l'avais supposée après lui.
Cette idée de la balance n'était d'ailleurs pas neuve chez Proudhon. Elle s'était d'abord présentée chez lui sous la forme de la notion mécanique d'un équilibre ou d'un contrepoids. Un peu plus tard, dans les Contradictions économiques, il s'agit de faire équation générale de toutes nos contradictions ». En 1849, dans les Confessions, c'est la
1. De la justice..., éd. Bouglé-Moysset, t. I, p. 211.
2. Id., t. II, p. 155.
そしてそれは、第3回研究2に追加された概説の中で、さらに前に戻ってくる: 本書(経済学的矛盾)に関して、私はヘーゲルに関する既往の考察を新たにする、 このシンセテースは、最初の2つのシンセテースとアンチシンセテースとは異なるものであり、論理的な誤りであると同時に、今私が得ている経験上の誤りでもある。反知性主義は、今なお消え去ることはない。ここにあるのは、あらゆるエゲレス哲学の根本的な悪徳である。それが構成する2つの用語は、両者の間で、あるいは他の反知性的な用語との間で、均衡を保っている。均衡とは、ヘーゲルが考えたような、また私がヘーゲルに倣って思いついたような、ある種のシンセシスではない。均衡という考え方は、プルードンにとっては新しいものではなかった。それは以前から、均衡や均衡の概念という形でプルードンによって提示されていた。さらに少し前に、経済学的矛盾の中で、「すべての矛盾を総括的に方程式化する」ことが提唱された。1849年、『告白』の1. De la justice..., ed. Bouglé-Moysset, t. I, p. 211. 2. t. II, p. 155.
Das Passagen-Werk: Die Straßen von Paris: Einer der Grundlagentexte materialistischer Kulturtheorie - Blick in die Jetztzeit des Spätkapitalismus (German Edition) はKindle Cloud Reader
912:
Proudhon über Hegel: »L’antinomie ne se résout pas; là est le vice fondamental de toute la philosophie hégélienne. Les deux termes dont elle se compose, se balancent … Une balance n’est point une synthèse.« »… N’oublions pas«, fügt Cuvillier hinzu, »que Proudhon avait été longtemps comptable.« An anderer Stelle spricht Proudhon von den seine Philosophie bestimmenden Gedanken als »idées élémentaires, communes à la tenue des livres et à la métaphysique«. Armand Cuvillier: Marx et Proudhon (A la lumière du marxisme II Paris 1937 p 180/181) [a 19, 4]
パサージュ論4岩波文庫
430
ヘーゲルについてプルードンは言っている。「二律背反は解消されない。そこにヘーゲル哲学全体の基本的な欠陥がある。それを作り上げる二つの項は、相殺されている。収支(バランス)は総合(ジンテーゼ)はない。」「長い間、プルードンが経理担当者だったことをわれわれは忘れてはならない」と、キュヴィリエ[20世紀仏の哲学者·社会学者]は付け加えている。ほかの箇所でプルードンは、彼の哲学を決定している思想は、「基本的な考え方で、簿記にも形而上学にも共通した考え方」であると述べている。アルマン・キュヴィリエ「マルクスとプルードン」(「マルクス主義に照らして』II、パリ、一九三七年、一八〇一-八一ページ)[a19, 4]
»idées élémentaires, communes à la tenue des livres et à la métaphysique«
「基本的な考え方で、簿記にも形而上学にも共通した考え方」
革命家の告白#11
プルードンは、彼の哲学を決定している思想は、「基本的な考え方で、簿記にも形而上学にも共通した考え方」であると述べている。
パサージュ論4岩波文庫430頁
»idées élémentaires, communes à la tenue des livres et à la métaphysique«
革命家の告白#11
「基本的な考え方で、簿記にも形而上学にも共通した考え方」
《プルードンは、彼の哲学を決定している思想は、「基本的な考え方で、簿記にも形而上学にも共通した考え方」であると述べている。》
パサージュ論4岩波文庫430頁
»idées élémentaires, communes à la tenue des livres et à la métaphysique«
『革命家の告白』#11
https://x.com/yojisekimoto/status/1859397019984638421?s=61
したがって、貧困問題の解決策は、会計士の科学をより高度に表現し、会社の記録を作成し、各機関の資産と負債を確立し、一般会計または大きな社会帳簿の部門を考慮することから成ります。 、もはや通常の会計、資本金、現金、一般財、手形、送金などの条件ではありません。 ;しかし、哲学、立法、政治の分野では、競争と独占、財産と共同体、国民と国家、人間と神などです。 — 最後に、私の比較を完了するには、文書を最新の状態に保つ必要があります。つまり、いつでも順序や順序を書き留めることができるように、権利と義務を正確に決定する必要があります。無秩序、そしてバランスを提示します [9]。私はこの会計の原則を説明するのに 2 冊を費やしました。この会計の原則を、お好みで言えば超越的と呼んでおきます。私は2月以来、簿記と形而上学に共通するこれらの基本的な考え方を100回思い出した。日常的な経済学者たちは私の面前で笑いました。政治的イデオローグたちは私に、国民のために書くよう丁重に勧めてくれました。私が関心を非常に真剣に受け止めていた人々に関して言えば、彼らは私をさらにひどい扱いをしました。共産主義者たちは、あたかも国家が偉大な博学者であるかのように共同体を批判し、社会権と並んで個人の権利は存在しないなどと私を許しません。所有者たちは、財産そのものが窃盗だと言っている私に死刑を望んでいます。あたかも、財産がその価値(地代)のすべてを製品の流通から得ているわけではなく、その結果、それよりも優れた事実、集団の力、労働の団結に依存していないかのようである。彼らは無政府状態を無秩序とみなしている。あたかも民主主義は権力の分配以外の方法で達成できるかのように、そして民主主義という言葉の本当の意味は政府の解任ではない、とでも言うかのように。これらの人々は皆、この馬商人に似ています。彼は、帳簿を整理するために事務員を雇いましたが、部品が 2 列に並べられ、1 つは借方、もう 1 つは貸方に配置されているのを見て、自分が強盗に遭ったと信じました。 「買い物はすべて現金で行います」と彼は叫びました。私は誰にも何も借りていないので、何も借りていないふりをしています。 » — ティエール氏は、財産の腐敗と退廃について聞きたがることなく、その驚くべき明晰さで財産の起源と発展を暴露しており、この馬商人の対応者である。だからといって、ティエール氏が今日、家族と財産の救世主となることを妨げるものではない。経済知識の報酬として、彼は間もなく大臣になる予定です。一方、聖書の検証が下手な私は公共の害虫であり、刑務所に入れられています。コミュニティと不動産の間には、指を触れるべきではありません。経済的矛盾のシステム、あるいは道徳と制度の台帳は、枠組み、一般会計、カテゴリーの数に関係なく、歴史的かつ世代順に発展するのではなく、必要かつ永遠に続く社会の真のシステムである。 。産業企業と同様に、新しい関係によって毎日新しいアカウントが生成され、仕事の内部組織、従業員と従業員の配置、機械の使用などが常に変更されます。 ;したがって、社会では、新しい光、偉大な発見が常に新しい道徳を生み出し、一般的な経済を修正します。しかし、あらゆる商業社会や工業社会における会計原則と同様に、一般的な記述体系も不変です。本は業務の表現であり、経営者が業務全体を指揮する観測所である。同様に、社会においては、矛盾の理論がすべての運動の表現であり、基礎でもある。道徳や制度は人によって異なります
2024年11月20日水曜日
2024年11月19日火曜日
マイモニデスとスピノザ
https://freeassociations2020.blogspot.com/2024/11/blog-post_19.html @
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(4)哲学的理解(第1部68章-88章)
68章と69章には、哲学者の描く神が記述されている。彼は68章で、哲学者の描く神とは、「知性 (al-'aql) であり、知性的に認識するもの[主体](al-'āqil) であり、さらに知性的に認識されるもの[客体] (al-ma'qūl)であって、それら三つの様相が、多性のない一つの意味を持つ」と述べている。この記述に関して、彼は次のように解説する。神は一であり、一切付加され得るものではなく、また、神の命は神の本質そのものであるために、生ける神によってとは言われても、神の命によってとは言われない。人は可能態として知性的に認識する主体であるが、可能であることと現実にそうであることとは同じではなく、他方、知性と形相の関係において、形相とは現実化した知性であるため、知性と知性的に認識された形相は別個のものではない。なぜなら、現実化した知性とは、知性的に認識されたもので、知性の働きはその本質と同一で、知性の本質とは理解のことだからである。
次の69章で、彼は、哲学者が神を第一原因と呼ぶ点について論じている。彼らが神を第一原因、もしくは不動の動者と呼ぶのは、すべての事物には原因、すなわち、アリストテレスが言うところの質料、形相、始動因、目的因の四原因が存しているからであるが、神は始動因であり、形相であり、かつ目的でもあると考えられることから、始動因、形相、目的因は同一のものとして捉えられると、彼は指摘している。
マイモニデスにおける神への道程―神の知解と人間の生き方の相関性を巡って― 単行本 – 2024/2/10
68~69頁
サッカレーの娘と格言とマイモニデス
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2024年11月17日日曜日
Maimonides, Spinoza and Us: Toward an Intellectually Vibrant Judaism (English Edition) 1st 版, Kindle版 英語版 Rabbi Marc D. Angel, PhD (翻訳) 形式: Kindle版
Maimonides, Spinoza and Us: Toward an Intellectually Vibrant Judaism (English Edition) 1st 版, Kindle版
Prophets and Philosophers Interestingly, both philosophers envisioned the ideal seeker of Truth in similar terms. For Rambam, human perfection is reached by apprehending God in as clear a manner as possible. “The way of life of such an individual, after he has achieved this apprehension, will always have in view loving-kindness, righteousness, and judgment, through assimilation to His actions, may He be exalted….”21 Such a person will be serene and filled with inner joy. For Spinoza, the ideal person will love God (apprehended through reason) and will be in control of his mind and emotions. The wise man “is scarcely at all disturbed in spirit, but, being conscious of himself and of God and of things by a certain eternal necessity, never ceases to be, but always possesses true acquiescence of his spirit.”22 Nevertheless, an unbridgeable gap separates Rambam and Spinoza in their understanding of the “ideal” human being. Rambam sees the prophet as the highest example of humanity, and Moses as the highest example of prophets.23 The prophet is not only endowed with great intellect and power of reason, but is also uniquely pious and devoted to God and Torah. Prophecy is a gift from God, raising the already brilliant philosopher to a higher level of closeness with God. Different prophets reached different degrees of prophecy, with Moses having reached the most intimate knowledge of God that is possible for humans. Rambam pointed out in the introduction to his Guide of the Perplexed that human beings are simply not able to reach a full understanding of the ultimate mysteries. He used the image of lightning to describe how different intellects attain aspects of Truth. Humans are in a dark night; when lightning flashes, they get a sudden glimpse of the reality around them. Moses was on such a lofty spiritual and intellectual level that it was as though the lightning flashed constantly for him and the night became as day. Lesser prophets received lesser numbers and lesser degrees of lightning flashes, so they perceived far less than Moses but far more than others who were not blessed with these great flashes of insight. Some human beings experience the lightning at greater or shorter time intervals. Others only attain illumination indirectly, from reflections of the lightning on shiny objects. And yet others remain in darkness and never see light. For Spinoza, the ideal human being is a philosopher, not a prophet. Indeed, Spinoza’s reading of the Bible led him to the conclusion that the prophets were not necessarily outstanding thinkers, but rather were highly emotional visionaries. Some of them were relatively simple shepherds, with no biblical evidence pointing to their intellectual abilities. Spinoza’s philosophy did not have room for a God who could communicate with humans, including prophets. God was the ideal Truth to which the human intellect needed to direct itself. This intellectual love of God was for its own sake, without the possibility of God talking with or rewarding the philosopher. In his Ethics (part 5, propositions 15 and 16), he teaches that “he who clearly and distinctly understands himself and his emotions loves God, and loves Him better the better he understands himself and his emotions. This love of God above everything else ought to occupy the mind.”24 Both Rambam and Spinoza extolled the virtue of reason, yet for Spinoza, reason was all that humanity had in its quest to understand/love God. The philosopher, who was devoted to rational analysis, was the one most able to fulfill human potential. Spinoza’s idea of God is precisely that: an idea—a philosophical construct. Rambam, though, recognized that God was not merely an “idea” but a “being.” The ultimate truth of revelation is that God can and does communicate with humans. Although Rambam’s understanding of God is quite intellectualized, it has room for a God with whom human beings can and do have a genuine, ongoing relationship.
21. Guide 3:54, p. 638.
22. Spinoza, The Ethics, trans. R. H. M. Elwes (New York: Dover Publications, 1955), p. 270.
23. Maimonides, Mishneh Torah, Yesodei haTorah, chaps. 7–8.
24. Ethics, p. 255.
25. Guide 1:31, p. 65.
預言者と哲学者 興味深いことに、どちらの哲学者も、真理を求める理想的な人物を同じような言葉で描いています。ランバムにとって、人間の完成は、神をできる限り明確に理解することによって達成されます。「このような理解を達成した後のそのような人物の生き方は、常に慈愛、正義、そして分別を念頭に置き、神の行為に同化することで、神を高められますように…」21 そのような人物は穏やかで、内なる喜びに満たされます。スピノザにとって、理想的な人物は神を愛し(理性によって理解)、自分の心と感情をコントロールします。
賢者は「精神的にほとんど動揺せず、ある永遠の必然性によって自分自身と神と物事を意識し、決して存在しなくなることなく、常に自分の精神の真の従順さを持ちます」22
とはいえ、ランバムとスピノザの「理想的な」人間の理解には、埋められない溝があります。
ラムバムは、預言者を人類の最高の例、モーセを預言者の最高の例とみなしています。23
預言者は、優れた知性と理性に恵まれているだけでなく、神とトーラーに独特の信心深さと献身を捧げています。預言は神からの賜物であり、すでに優れた哲学者を神とのより高いレベルの親密さへと引き上げます。預言者によって預言のレベルは異なりますが、モーセは人間が可能な最も親密な神に関する知識に達しました。
ラムバムは『迷える人々への手引き』の序文で、人間は究極の神秘を完全に理解することはできないと指摘しました。
彼は、さまざまな知性が真理の側面に到達する様子を、稲妻のイメージで表現しました。人間は暗い夜にいます。稲妻が光ると、周囲の現実を突然垣間見ることができます。モーセは精神的、知的レベルが非常に高かったため、稲妻が絶えず光り、夜が昼のようになったかのようでした。下位の預言者は、より少ない回数と程度の稲妻の閃光を受けたため、モーセよりはるかに少ないことを知覚しましたが、これらの偉大な洞察の閃光に恵まれなかった他の人々よりはるかに多くのことを知覚しました。人間の中には、稲妻を長い時間間隔または短い時間間隔で経験する人もいます。他の人は、光る物体に稲妻が反射することによって間接的に啓示を得るだけです。そして、暗闇の中にとどまり、光を見ることのない人もいます。スピノザにとって、理想的な人間は、預言者ではなく哲学者です。実際、スピノザは聖書を読んで、預言者は必ずしも傑出した思想家ではなく、非常に感情的な先見者であるという結論に至りました。彼らの中には、比較的単純な羊飼いで、彼らの知的能力を示唆する聖書の証拠がまったくない人もいました。スピノザの哲学には、預言者を含む人間とコミュニケーションできる神の余地はありませんでした。神は、人間の知性が向かう必要のある理想的な真理でした。神に対するこの知的な愛は、それ自体のためにありました。神が哲学者と話したり、報奨を与えたりする可能性がなければ、神は哲学者と対話したりはしない。『エチカ』(第 5 部、命題 15 と 16)で、
彼は「自分自身と自分の感情をはっきりと明確に理解する人は神を愛し、自分自身と自分の感情をよりよく理解すればするほど、神をより深く愛する。何よりも神へのこの愛が心を占めるべきである」と教えている。24
ランバムもスピノザも理性の美徳を称賛したが、スピノザにとって、理性は神を理解し愛するための人類の探求において人類が持つすべてであった。合理的分析に専念した哲学者こそ、人間の可能性を最も実現できる人物であった。スピノザの神の概念は、まさにそれ、つまり観念、つまり哲学的構築物である。しかしランバムは、神は単なる「観念」ではなく「存在」であることを認識していた。啓示の究極の真実は、神は人間とコミュニケーションできるし、実際にコミュニケーションしているということである。ラムバムの神についての理解は極めて理性的なものではあるが、人間が真に継続的な関係を持つことができる神が存在する余地がある。