。。
Il n'y a pas eu de Révolution
ne serait finalement plus nécessaire. La fina-
lité ultime de la politique serait son auto-
suppression". » Les choses sont claires.
Défendre l'auto-organisation et rejeter
proposent les définitions contemporaines
l'anarchisme: voilà ce que
en même temps
de l'autogouvernement.
Du pluriel (communs)
au singulier (commun)。。。
La difficulté est de taille, il faut le recon-
naître, qui consiste à articuler entre elles
toutes les significations de la justice com-
mutative et à réduire l'hétérogénéité qui
existe entre un jardin partagé et une vision
fédéraliste du monde. Entre une gestion des
ressources et une construction politique.
Tout cela dans la perspective d'un dépasse-
ment de la propriété privée et d'une redé-
finition de la démocratie, qui refuse de la
réduire à de simple règles d'incitation et de
désincitation. Et Proudhon échouerait fina-
lement à relever ce défi.
(( Proudhon, écrivent les auteurs de Commun,
a toujours marqué sa plus grande défiance
à l'égard du gouvernement, qui est incom-
pétent par essence lorsqu'il s'agit de chan-
ger la société, comme on l'a vu selon lui en
1848. Le nouveau droit ne sera pas étatique,
il sera la forme juridique de l'association
216
L'autogouvernement en question
ouvrière, de la mutualité et de la fédéra-
tion. Mais n'est-il nul besoin d'une organi-
sation politique quelconque ? L'économie
peut-elle absorber le politique en entier ou
peut-on inventer une forme organisation-
nelle non gouvernementale 54 ? >>
Pour répondre à ces questions, Dardot
et Laval distinguent entre «< communs >> au
pluriel et «< commun >> au singulier - autre
nom, au fond, du gouvernement. Il est
nécessaire, affirment-ils, de distinguer les
choses communes, les biens communs, les
communs et le commun. Qu'est-ce que le
commun? Les auteurs poursuivent: (( Si
"Commune" est le nom de l'autogouverne-
ment politique local et "communs" le nom
des objets de nature très diverse pris en
charge par l'activité collective des individus,
"commun" est proprement le nom du prin-
cipe qui anime cette activité et qui préside
en même temps à la construction de cette
forme d'autogouvernement". » Le commun
est l'idéal qui permet à la Commune
d'échapper à sa réduction autogestionnaire
et sauve ainsi la démocratie. Ah, si la Com-
mune de Paris avait connu Dardot et Laval!
Le commun. Le mot est prononcé :
(( principe ». « Le » commun est un prin-
cipe. Principe fédérateur et fédéraliste, selon
lequel les hommes s'engagent ensemble
à agir selon des normes élaborées en com-
mun, puisque ((le seul principe politique
217
L'autogouvernement en question
ouvrière, de la mutualité et de la fédéra-
tion. Mais n'est-il nul besoin d'une organi-
sation politique quelconque ? L'économie
peut-elle absorber le politique en entier ou
peut-on inventer une forme organisation-
nelle non gouvernementale 54 ? >>
Pour répondre à ces questions, Dardot
et Laval distinguent entre «< communs >> au
pluriel et «< commun >> au singulier - autre
nom, au fond, du gouvernement. Il est
nécessaire, affirment-ils, de distinguer les
choses communes, les biens communs, les
communs et le commun. Qu'est-ce que le
commun? Les auteurs poursuivent: (( Si
"Commune" est le nom de l'autogouverne-
ment politique local et "communs" le nom
des objets de nature très diverse pris en
charge par l'activité collective des individus,
"commun" est proprement le nom du prin-
cipe qui anime cette activité et qui préside
en même temps à la construction de cette
forme d'autogouvernement". » Le commun
est l'idéal qui permet à la Commune
d'échapper à sa réduction autogestionnaire
et sauve ainsi la démocratie. Ah, si la Com-
mune de Paris avait connu Dardot et Laval!
Le commun. Le mot est prononcé :
(( principe ». « Le » commun est un prin-
cipe. Principe fédérateur et fédéraliste, selon
lequel les hommes s'engagent ensemble
à agir selon des normes élaborées en com-
mun, puisque (( le seul principe politique
217
。。。。。
Il n'y a pas eu de Révolution
respectueux de l'autonomie des gouverne-
ments locaux est le principe fédératif ».
La philosophie du commun(s) n'est pas
anarchiste parce qu'elle doit s'ordonner
à un principe - ce principe qui manque au
fédéralisme proudhonien et le fait ressem-
bler de bien près, pour finir, au nouveau
néolibéralisme. D'où l'inévitable rappro-
chement entre Proudhon et Ostrom.
Un principe, disent encore les auteurs,
((est ce qui vient en premier et fonde tout
le reste. [...] C'est un véritable commence-
ment, [...] un commencement qui régit et
domine tout ce qui suit. Le grec arkhè a le
double sens de commencement et de com-
mandement: arkhè, c'est la source dont
tout le reste dérive. Le commun est un
principe politique en ce sens qu'il ordonne,
commande et régit tout de l'activité poli-
tique" >>. Il faut donc savoir réintroduire du
commandement.
Bonnes intentions
Malgré tout, la pensée politique du com-
mun, qui se montre peu capable de donner
forme concrète à ce « principe »>, finit par
errer dans le vague des bonnes intentions.
« Le commun, déclare Laval, est donc un
principe qui articule démocratie directe ou
autogouvernement, destination sociale des
218
ーーーーーー
Il n'y a pas eu de Révolution . la société 60» Est-ce donc là l'état de la cri- tique de la propriété privée aujourd'hui ? Qu'est-ce que l'activité démocratique (( bien comprise >> ? Que sont ces (( pratiques uto- piques », qui apparaissent, en réalité, très mélancoliques? Nostalgiques d'une démo- cratie grecque fantasmée. Et sait-on finale- ment en quoi l'autogouvernement n'est purement et simplement un gouvernement comme les autres ? pas En regard de l'anarchisme, tout principe est une enclosure métaphysique et par consé- quent une forme de domination politique. La tâche d'un principe est en effet d'ordonner ce dont il est le principe. Il enclot, délimite son domaine de législation, assignant leur place aux éléments qu'il régit, décidant ainsi de limites et de hiérarchies. Un principe, par sa nature hégémonique, est nécessaire- ment hors du commun. Et quelle meilleure définition donner de lui sinon, précisément, l'autogouvernement? Tout principe est autogouvernement: il décide de soi-même, par soi-même - ce qui veut dire aussi sans les autres. Accoler à l'autogouvernement le mot « démocratie » (même «bien comprise >>) ne change rien à son économie souveraine. 220 L'autogouvernement en question L'antipathie pour le principe d'autorité Les défenseurs de l'autogouvernement et des/du commun(s) restent majoritaire- ment tributaires d'une conception de la politique qui fait de la recherche du meil- leur gouvernement la question première. Une conception qui voit le jour avec Platon, et ne se trouve remise en cause qu'avec le projet anarchiste. Une remise en cause pour laquelle Foucault trouve les mots justes: la question première de la politique n'est pas le gouvernement mais la résistance au gouvernement. ((Oui. Voyez-vous, déclare Foucault, s'il n'y avait pas de résistance, il n'y aurait pas de rapports de pouvoir. Parce que tout serait simplement une ques- tion d'obéissance. Dès l'instant où l'indi- vidu est en situation de ne pas faire ce qu'il veut, il doit utiliser des rapports de pou- voir. La résistance vient donc en premier, et elle reste supérieure à toutes les forces du processus; elle oblige, sous son effet, les rapports de pouvoir à changer. Je consi- dère donc que le terme de "résistance" est le mot le plus important, le mot-clef de cette dynamique¹. » Et comment ne pas remarquer que Proudhon le premier reven- dique constamment la priorité de la résis- tance? D'un bout à l'autre de son œuvre, il maintient cette affirmation: (( mon anti- pathie pour le principe d'autorité n'a pas 221 Il n'y a pas eu de Révolution faibli». Qu'est-ce que la propriété ? n'est en rien un traité politique classique, à la recherche du meilleur régime. L'important est de montrer que la propriété privée est un prolongement des rapports de domina- tion féodaux et de ses logiques d'assujet- tissement. La recherche de l'institution qui convient le mieux à la dissolution de ces rapports découle de cette analyse mais ne lui préexiste pas. que La pensée des communs et de l'autogou- vernement aujourd'hui ne s'attarde jamais sur les structures de subordination peuvent impliquer ces concepts eux-mêmes. En effet, on vient de le voir, leur usage systé- matiquement universalisant réduit au silence le caractère chaque fois singulier des luttes contre la propriété privée, surtout celles qui sont liées à une histoire de tutelle, de coloni- sation et/ou d'esclavage. Ce sont en fait ces analyses qui s'en tiennent, contrairement à ce qu'elles prétendent, au seul niveau éco- nomique, en limitant la pensée du << vol >> à la spoliation néolibérale des ressources et en réservant l'aspect proprement politique de cette situation à une recherche différée, indéfinie, évitante, de la démocratie idéale. 222 L'autogouvernement en question Communauté: tout ou rien? Et si le collectif n'était pas le commun? Et si le commun n'était pas l'idée fondamen- tale de la politique? Qu'est-ce que la pro- priété ? nous conduit secrètement à poser ces questions. 63 Des penseurs comme Blanchot ou Nancy ont répondu en leur temps en nom- mant communauté « inavouable » ou << désœuvrée 64 »> l'aporie du commun. Mais en se tenant eux aussi très loin de l'anar- chisme. Leur question directrice, prise dans une sorte de métaphysique du désastre, est restée jusqu'au bout celle du communisme et de son échec. «L'idée communiste, écrit Nancy, a été depuis qu'elle a surgi - et elle a surgi lorsque le commun a commencé à se sentir et à se savoir brisé, ou bien non avenu l'idée de ce qui ne serait ni Tout, ni Bas, ni collectif, ni social, ni équivalent - ni suffisant, mais qui nous donnerait à tous ensemble la possibilité d'être ensemble puisque nous le sommes. Puisque le com- mun non seulement nous est donné mais est lui-même dans le don de l'existence et que rien, aucun étant, n'est donné sans lui. Mais "lui" n'est rien pour nous : ni totem, ni col- lectif, ni échange, ni communication. » - Il faudrait alors pouvoir parler de rien, parler du rien. Le commun << n'est rien pour nous >>. Proudhon ne serait pas 223 Il n'y a pas eu de Révolution ce néant d'accord. «Rien » n'est pas le bon mot. «Rien » convient à la propriété, qui se fait passer pour quelque chose. Mais ne convient pas au commun. Le com- mun, ce n'est par rien. Non, le commun, c'est personne. Et personne n'est pas rien. Et personne n'est pas commun. Personne n'appartient à personne et c'est loin de n'appartient à personne. On ne peut pas vouloir rien dire ou de n'être rien. Personne mettre personne en commun. ne Ce n'« appartenir à personne »>, qui n'est jamais analysé ni dans les théories du com- mun ni dans les réflexions sur le commu- nisme, ne peut jamais devenir un principe. Sinon, il s'appartiendrait.C'est pourquoi mettre en forme personne
d'en haut (par principe) est impossible
sinon au prix de la domination. Personne ne
se forme que mutuellement. Il y a entraide
- il n'y a entraide que - parce que personne
n'appartient à personne. Personne n'est pas
la vacance du pouvoir, mais ce seuil qui la
précède. Et dont l'idée est si peu commune.
Telle est la raison pour laquelle l'anarchiste
est toujours, ce que d'aucuns voient comme
une contradiction insoluble, à la fois seul et
socialiste.
~~~~~~~
は最終的には必要なくなります。政治の究極の目的は自己抑圧だろう。」 物事は明らかだ。自己組織を擁護し、アナキズムの現代的定義を拒否すること、これが自治のすべてである。
複数(共通)
単数(普通)。。。
この困難は重大であることを認識しなければならないが、その困難は、交換的正義のすべての意味を明確にし、共有の庭と連邦主義の世界観との間に存在する異質性を軽減することから成る。資源管理と政治構築の間。これらすべては、私有財産を超えて民主主義を再定義するという観点からのものであり、民主主義を動機と阻害の単純なルールに還元することを拒否しています。そしてプルードンは最終的にはこの課題に対処できなくなることになる。
((プルードンは、1848 年に彼が述べたように、社会を変えるという点では本質的に無能である政府に対して常に最大の不信感を表明してきた。新しい法律は国家のものではない。それは、連合、相互作用、連合の法的形態となるだろうか? 経済が政治を完全に吸収できるのか、それとも非政府組織の形態を発明できるのか 54 >>
487
これらの質問に答えるために、ダルドーとラヴァルは「コモンズ」を区別している。複数形で、そして単数形で「コモン」とは、基本的には政府にとって、共有のもの、共有物、共有物を区別する必要がある、と著者は続けます。 ((「コミューン」が地方の政治的自治の名前であり、「コモンズ」が個人の集団的な活動によって管理される非常に多様な性質のオブジェクトの名前である場合、「コモン」は正しくは、生命を吹き込む原理の名前です)この活動は同時にこの形態の自治の構築を主宰するものである。」 » コモンとは、コミューンが自己管理による縮小から逃れることを可能にし、それによって民主主義を救う理想である。ああ、パリ・コミューンがダルドーとラヴァルを知っていたら!共通です。この単語は次のように発音されます: (( 原則。「共通」は原則です。男性が共通に開発された基準に従って行動することを約束する統一的かつ連邦主義的な原則です。以来、(( 唯一の原則は政治 217
連邦の原則である地方自治体の自主性を尊重した革命はこれまでなかった。」コモンの哲学はアナーキストではない。なぜならそれはある原則によって秩序づけられなければならないからである。この原則はプルードン的連邦主義に欠けており、最終的にはそれを新しい新自由主義に酷似させている。したがって、プルードンとオストロムの接近は避けられない。著者らは依然として、原則とは「最初に起こり、他のすべての基礎となるものである。[...] それは真の始まりであり、[...] その後に続くすべてのものを支配し、支配する始まりである。ギリシャ語のアルケーには二重の意味がある」
741-2
と述べている。始まりと命令の意味:アルケは他のすべてが派生する源であり、それがすべてを命令し、命令し、統治するという意味で、私たちは命令を再導入する方法を知らなければなりません。
善意
それにも関わらず、一般的な政治思想は、この「原則」を具体化する能力がほとんどなく、曖昧な善意の中でさまようことになる。 「したがって、共通のものとは、218 年の社会的目的地である直接民主制または自治を明確にする原則である」とラヴァルは宣言する。
ーーーーーー
革命はありませんでした。社会 60» それでは、これが今日の私有財産批判の現状なのでしょうか?民主主義活動とは何ですか(正しく理解されていますか?実際には非常に憂鬱に見えるこれらの「ユートピア的慣行」とは何ですか?空想されたギリシャ民主主義が懐かしいです。そして知ってください-最後に、自治はどのような点で純粋に、単に政府ではないのでしょうか?他のものと同様に、あらゆる原則は形而上学的な囲い込みであり、その結果、原則はそれが原則であるものを囲い込み、その範囲を定め、その位置を割り当てるのである。それが支配する要素に対して、このように限界や階層を決定することは必然的に非日常的であり、それを正確に定義すると、すべての原理は自己統治です。それはそれ自体で、それ自体で決定します。これはまた、他者が自治しなければ、「民主主義」という言葉は(「よく理解されている」としても)その主権経済を何も変えないことを意味します。 220
問われる自治
権威原理への反感 自治と庶民の擁護者は依然として、第一の問題として最善の政府の探求に焦点を当てる政治の概念に主に依存し続けている。プラトンとともに現れた概念であり、アナーキスト計画でのみ疑問視される。フーコーが適切な言葉を見つけた問い、つまり政治の主要な問題は政府ではなく政府への抵抗である。 ((そうです。ご存知の通り、フーコーは宣言します、もし抵抗がなければ、力関係は存在しないでしょう。なぜなら、すべては単に服従の問題になるからです。個人が自分のやりたいことをできない状況に陥った瞬間から、したがって、彼は力関係を最初に使用しなければならず、その影響下では力関係が変化するすべての力よりも優れたままであるため、私は「抵抗」という用語が最も重要な言葉であり、鍵であると考えています。この力関係の言葉は常に抵抗の優先事項であると述べています。彼の作品を通して、彼は次のような主張を維持しています。最良の封建的関係とその征服の論理を求めて。これらの関係を解消するのに最も適した制度の探索は、この分析から生じますが、事前に存在していたわけではありません。今日のコモンズと自治の思想は決して従属の構造にこだわっていないということは、これらの概念そのものを暗示しているのかもしれない。実際、これまで見てきたように、その体系的な普遍化によって、私有財産に対する闘争、特に保護、植民地化、および/または奴隷制の歴史に関連した闘争の毎回の特異な性格が沈黙させられる。実際、これらの分析は、彼らの主張に反して、「窃盗」の考えを新自由主義的な資源の収奪に限定し、この状況の厳密な政治性を先送り、無期限に留保することによって、経済レベルのみに固執している。理想の民主主義を回避的に探求する。
問題となる自治
コミュニティ: 全か無か?集団が共通のものではなかったらどうなるでしょうか?もしコモンが政治の基本的な考え方ではなかったらどうなるでしょうか?財産とは何ですか?密かに私たちにこれらの質問をさせます。 63 ブランショやナンシーのような思想家は、当時、一般的な「言及できない」または「怠惰な」コミュニティのアポリアと呼んで反応しました。しかし、彼らはアナキズムからも遠く離れています。彼らの指針となる問いは、災害に関するある種の形而上学に囚われており、共産主義とその失敗に関する問いとして最後まで残りました。 「共産主義の考えは、それが生じた時からずっとあった。そしてそれは、庶民が自分たちが壊れていると感じ、認識し始めたときに生じた。そうでなければ、ローでも集団でもないものは何でもないという考えが生じた」とナンシーは書いている。 、社会的でも、同等でも、十分でもありませんが、私たちが一緒にいるので、それは私たち全員に一緒にいる可能性を与えます。なぜなら、コモンは私たちに与えられるだけでなく、それ自体が存在という贈り物の中にあり、それなしでは何も、どんな存在も与えられないからです。しかし、「彼」は私たちにとって何ものでもありません。トーテムでも、集合体でも、交換でも、コミュニケーションでもありません。 » - その場合、私たちは何も話さず、何も話さなくてはなりません。よくある「私たちにとっては何でもないこと」。プルードン氏は同意しないだろう。 「何もない」というのは間違った言葉です。何かを装う財産には「何もない」が似合う。しかし庶民には向きません。共通のものは何もありません。いいえ、共通しているのは誰でもない。そして誰も何もないのです。そして、共通していない人は誰もいません。誰も誰のものでもありませんし、誰のものでもないわけではありません。私たちは何も言わないことや、何もないことを望むことはできません。人は人を共通に置きます。この「誰にも属さない」ということは、共通理論でも共産主義の考察でも決して分析されることはなく、決して原理になり得ない。そうでなければ、彼は自分自身のものになってしまうでしょう。
これが、支配を犠牲にしない限り、上から誰かを形作ることが(原則として)不可能である理由です。お互い以外には誰もトレーニングしません。相互扶助が存在します - 相互扶助だけが存在します - 誰も誰にも属していないからです。誰も権力の欠如ではなく、権力に先行するこの閾値なのです。そして、そのアイデアはとても珍しいです。これが、アナキストが常に、単独でありながら社会主義者であり、一部の人が解決不可能な矛盾であると見なしている理由です。
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